Filles de sportifs de haut-niveau, forcément au-dessus du panier
11/11/2014
Toutes nouvelles recrues du staff français lors du dernier mondial de basket en Espagne, les intérieures Hélène Ciak et Ana Cata-Chitiga ont le sport dans le sang. Hélène a été coachée par son père, un ex-international polonais. Championne de France avec Montpellier l’an dernier, elle a intégré le clan des Braqueuses l’an dernier. Tandis qu’Ana, elle aussi arrivée chez les bleues en 2013, a marqué ses premiers paniers sous la houlette de sa mère, ancienne internationale roumaine et entraîneuse. Elle n’avait pourtant pas du tout misé sur son sport pour faire carrière : « Au début, je n’aimais pas trop le basket» , raconte pourtant Ana au site le télégramme. « Je n’aimais pas non plus que ma mère soit mon entraîneur et puis je me suis prise au jeu. » Avant elles, les Braqueuses comptaient dans leurs rangs d’autres filles de sportifs émérites, comme Gaëlle Skrela, issue d’une famille d’internationaux de rugby, et Sandrine Gruda, fille d’Ulysse, ancien pivot international chez les Bleus.
D’après letelegramme.fr, consulté le 04/10/2014
2ISO11812/14 – 11/2014